Piotre Anderszewski est décidément un pianiste singulier par ses choix de vie et ses choix musicaux.
Son concert salle Molière comportait 9 préludes et fugues du clavecin bien tempéré de JS Bach choisis et interprétés avec virtuosité et rigueur mais aussi une grande liberté « pour trouver un équilibre entre émotion et un idéal de perfection ».
Le programme enchainait sans transition des variations de Anton Webern et la sonate n°31 de LV Beethoven. Effet inattendu et surprenant qui a enchanté le public. 

Parmi les trois bis, une magnifique interprétation pleine d’émotion du prélude n°12 et la sarabande de Bach.

Si vous voulez en savoir plus sur ce pianiste très singulier vous pouvez voir un film intitulé « Le voyageur intranquille », et réécouter une émission qui lui est consacrée sur radiofrance.fr

Bernard Baume, administrateur