Le Décaèdre
Des vents, des cordes
Un ensemble symphonique à dix faces
Voici Le Décaèdre
Dix, c’est peu pour une symphonie. Un par pupitre, l’exigence est là.
Mais dix, c’est aussi une nouvelle voix pour les couleurs de l’orchestre, une nouvelle voie pour transporter une symphonie et en réinventer l’écoute.
L’ensemble, né en 2020, savoure encore sa jeunesse et arrange des pages pour dix portées avec la fraîcheur des curieux.
C’est l’histoire de 10 musiciens professionnels aux chemins variés, aux études multiples.
Ils se croisent, s’écoutent, jouent parfois sur la même scène sans se connaître.
Puis vient finalement l’heure des rencontres, autour d’un café ou d’un verre, pour croiser glaçons et poème symphonique, nuits blanches et conception orchestrale.
De l’intérieur, ceux-là veulent du nouveau pour la symphonie, quelque chose d’actif, voire même de réactif, où la chimie des solistes va se mêler à l’écoute chambriste développée depuis des années.
En 2020, la petite formation joue sur des pages de Beethoven et réfléchit au son d’ensemble, au rythme d’une répétition sans chef, au travail d’intonation.
De ce magnifique projet nait Le Décaèdre.
«Nous interprétons nos propres arrangements du répertoire symphonique, de la période classique à la période moderne. Chaque pupitre est soliste et incarne les rôles que lui donne la partition ».